Parce que le porno n'a pas le monopole de la pignole (Cartonné)

Si nous croyons volontiers Tiffany Hopkins, ex-hardeuse, définissant la pornographie comme étant «objet de divertissement [ayant] pour finalité la masturbation», n'oublions pas qu'André Breton la présente comme étant «l'érotisme des autres». Car si la limite entre pornographie et érotisme est parfois poreuse, variable et indiscutablement personnelle, la pornographie montre, là où l'érotisme suggère. Alors si vous êtes lassé de vous tripoter avec ennui devant un énième film basse-définition en streaming, cette petite anthologie de poésie pratique est faite pour vous. Ici, place aux désirs, du soft au hard, pour remettre l'imagination en branle, ou comment réaliser tous vos fantasmes en récitant un petit poème. Et vice versa : du vice en vers.