Mon Agnès ou L'éternelle égérie - récit initiatique (Grand format)

« Je ne suis pas l'auteur de cet ouvrage, qu'un curieux hasard, ou la Providence bien plutôt, m'a fait découvrir, abandonné qu'il était autant que laissé à portée de main pour qui voulait le prendre. Un texte énorme de par son contenu, j'ose le dire, mais d'un auteur qui, souhaitant assurément que ce secret soit porté à la connaissance du monde, souhaite en même temps garder l'anonymat. C'est une confession donnée à l'heure où cet homme se sent partir, d'où son titre original Confessio ad limina. Pour ma part, j'ai proposé cet autre « Mon Agnès ou l'Eternelle Egérie » pour l'excellente raison que cet homme anonyme tout en se confessant ici à une certaine Agnès, parle aussi d'autres Agnès ; toutes, on le sent bien, chères à son coeur. Cette Confession est-elle véridique ? Soyons honnêtes, on a du mal à croire que ce soit vrai. Mais pourtant, passé l'a priori, est-ce une oeuvre de fiction ? La même honnêteté intellectuelle porte à la croire authentique, tant il semble que jamais quelque auteur de roman fût capable d'imaginer un tel scénario. J'ai pris la décision de rendre public ce texte, car si cet homme m'est inconnu il appartient à l'Histoire, et ce qu'il révèle ici concerne tous ceux qui s'intéressent à l'Histoire de France. C'est un haut personnage, dont la personnalité touche au coeur de la France ; celle éternelle, depuis Clotilde et Charlemagne jusqu'à Henri IV et Louis XVI en passant par Charles VII. Voire aujourd'hui, où l'auteur ne tait pas son courroux quant à l'état actuel de ce pays si longtemps dit « la Lumière des Nations » ! Par quoi ce texte est un texte d'actualité. Et même d'une actualité brûlante, magnifiée par ce coeur qu'on sent brûlant d'amour. Pour son égérie, cette éternelle Agnès, mais aussi pour la France, où il semble superflu de rappeler que Louis XVI est mort un 21 janvier, au jour de Sainte-Agnès. » Hermine de Val d'Allière.