[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] Gros ouvrage qui se lit d'un traite. L'écriture est fluide et entraînante. On n'a qu'une envie, c'est de connaître la fin du périple des différents personnages. En plus, ce livre nous rappelle un peu ces quelques jours qui ont précédé l'appel du 18 juin 1940 et l'armistice qui a suivi. Bref, j'ai pris plaisir à le lire.

[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] Un récit romancé qui nous plonge au coeur d'une période souvent évoquée mais très rarement aussi finement documentée. Au risque de se perdre tant le récit est dense!C'est une véritable radiographie des évènements (et aussi des comportements humains...), et superbement écrit. Un livre exigeant, un grand livre.

[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] J’aime les romans historiques et le 20e siècle me passionne. J’attendais avec impatience ce roman qui, comme l’indique le titre, aborde la débâcle, cette courte période où l’armée française se retrouve en déroute quand les Allemands ont décidé d’attaquer en 1940. C’est un sujet qui n’est pas souvent traité. L’auteur a choisi de concentrer son récit sur une semaine du lundi 10 juin au 17 juin, date du discours de reddition du Marechal Pétain. Ainsi, durant cette semaine clé, on suit Lucien Schraut, soldat photographe engagé, la famille Perret qui se jette sur les routes de l’exode en fuyant Paris, mais aussi Hortense, Paul et Marie-Louise. Tous ces personnages ont des liens entre eux et la désorganisation de l’époque va faire qu’ils vont se croiser à plusieurs moments de l’histoire. En lisant ce roman, on découvre l'atmosphère de l'époque : l’antisémitisme viscéral de certains, la vie parisienne, l'impréparation de l'armée française, la bataille de France et ses nombreux morts et blessés, la route de l’exode et ses morts et blessés aussi. Malheureusement, alors que les idées sont bonnes, le style littéraire est poussif, creux et lourd, desservant l’histoire. Alors que le roman devrait nous passionner, il nous ennuie. Bref, c’est raté... et c’est dommage !