Après un Nier tout aussi indispensable, le papa de Drakengard confie son bébé à Platinum, et c'est pour le meilleur. Les géniteurs de Bayonetta ont fait un excellent travail afin de rendre le gameplay agréable, dynamique et technique, tout en respectant l'univers d'origine. De plus, Keiichi Okabe signe comme pour le premier volet une OST digne du panthéon des BO de jeu et se glisse avec ce travail parmi les meilleurs de sa catégorie (à l'occasion, allez écouter son travail sur le DLC Gladio de FFXV). Bref une expérience certes avec des défauts, mais dont vous vous souviendrez toute votre vie.

Au début de nier je me suis dit, "bof rien de bien impressionnant" une fois la première fin débloquer ,je n'ai plus lacher le jeu,univers,histoire tt m'appeler a lui,j'ai passer plus de 40h sur ce jeux ,a esayer de tout comprendre de cette univers,a apprécier chaque moment,et a tout remettre en question,ce jeux est pour moi un jeu philosophique qui interroge énormément,sur notre place dans le monde,etc je ne peux en dire plus par peur de spoil,en tt cas si vous chercher un jeu original avec des thèmes sérieux foncez vous ne seriez pas decu,fan de matrix,ghost in the shell etc...les thèmes aborder vont vous plaire =)

C'est du très bon PlatinumGames, même si le jeu devient un peu répétitif sur le deuxième run et il faut trois run pour avoir toutes les fins principales (il y en a 26 différentes en tout, mais que 5 qui ont un réel intérêt). Niveau graphismes, on est plus proche de la PS3 que de la PS4, mais l'action est très fluide, ce qui est le principal lorsque l'on veut faire la bagarre contre des petits et des (très très) gros robots.

Un jeu excellent avec une ambiance incroyable et une musique sublime. Les personnage ont une vrai personnalité et la rejouabilité est bonne.

Pas encore fini...je continue d'explorer les différentes fins...j'ai trouvé la 1ere un peu rapide mais j'espère que les suivantes seront pleines de surprises

je ne connaissais pas le premier volet. Impressionnant. c'est mois beau qu'un Uncharted visuellement parlant mais le scénario est très intéressant.

L’UNIVERS DYSTOPIQUE DE NIER: AUTOMATA Je ne savais pas trop à quoi m’attendre avec Nier: Automata. J’avoue qu’il m’a fait de l’œil dès les premières annonces et j’avais hâte de pouvoir y jouer. J’ai trouvé ce jeu assez original dans le style mais je trouve que malgré les bonnes critiques faites il a quand même beaucoup de défauts. Nier: Automata nous emmène dans un lointain futur où la Terre est envahie par des extra terrestres. L’humanité s’est sauvé sur la lune mais ils envoient des androïdes pour lutter contre cette invasion terrienne. Ils essayent alors de récupérer leur planète. On suit les missions de l’androïde 2B qui est accompagnée de 9S et de A2. Le jeu nous emmène dans différent type de destinations : villes détruites, forêt, usine, désert, on peut dire que le décor est assez varié et les ennemis aussi. L’histoire monte crescendo au fur et à mesure que l’on avance même si certains éléments sont assez perturbateurs. J’ai quand même trouvé l’histoire un peu bizarre et il manquait réellement des choses pour apprécier réellement le scénario que j’ai trouvé trop simple. Personnellement, j’ai été coincée dès le début à la première quête… pourquoi ? Parce qu’un monstre était censé faire tomber une pièce et ne l’a jamais fait … j’ai essayé de le récupérer ailleurs malgré le fait que la zone était marquée sur l’endroit où je devais le trouver et bien entendu je n’ai pas réussi … Il a fallu que je redémarre le jeu pour que les ennemis réapparaissent et que je réussisse à avoir mon objet. Et puis, il y a un manque d’intuitif dans le jeu, il est difficile parfois de savoir où aller, les choses ne sont pas claires et on se prend des fois sacrément la tête. UN GAMEPLAY ORIGINAL J’ai adoré le début du jeu entre les attaques en vaisseau et puis les passages en robot, je trouve ça réellement sympa ça fait penser aux jeux à l’ancienne que l’on adorait. Il faudra faire attention parce que l’action s’intensifie de plus en plus au fur et à mesure que l’on avance et du coup cela devient de plus en plus difficile. Après, on a un peu l’impression que c’est du Beat Them All à la Bayonetta, il faut dire que le style de 9B avec ses grosses épées y fait penser fortement en plus. Je trouve qu’il manque fortement de Tuto pour expliquer comment faire pour les armes ou encore à quoi sert les améliorations. Contrairement à d’habitude où Square Enix nous fait des tutoriaux beaucoup trop longs, ici c’est inexistant et c’est dommage. Je pense être passée à côté de quelques conseils intéressants qui auraient pu aider par moment. Je trouve le monde un peu vide et il est trop facile d’éviter le peu d’ennemis disséminés dans les maps. Les quelques quêtes présentes rallongent un peu la durée de vie du jeu mais ce n’est pas encore assez je trouve. C’est dommage vu la taille du monde de ne pas avoir créer plus de choses pour une action un peu plus poussée. Par contre, j’avoue que la fin est bien poussée pour le coup, limite difficile de faire une pause tellement on est submergé et je dois dire que c’est appréciable. UNE OST ABSOLUMENT MAGNIFIQUE ! Par contre, j’avoue que la Bande Originale de ce jeu est une pure merveille ! Orchestrée à la perfection, celle-ci accompagne merveilleusement bien le jeu et particulièrement les scènes d’action. La musique aide beaucoup à se plonger dans le jeu et l’aventure de 9B. Tantôt instrumentales, tantôt accompagnées de voix aussi douce que mélodieuse, on se sent envahi par un sentiment de bien être en l’écoutant et on a envie de monter le son à fond pour en profiter. Plusieurs chanteuses ont participé à cette OST : Marina Kawano, Emi Evans ou encore Nami Nakagawa. L’univers du jeu et la musique collent à la perfection à cette dystopie et améliore grandement l’expérience de ce jeu. En résumé, Nier: Automata est un bon jeu mais une petite déception pour ma part, je m’attendais à quelque chose de plus abouti ou de plus passionnant. Personnellement, j’ai trouvé qu’il manquait quelque chose et je n’ai pas réussi à m’accrocher à l’histoire, j’ai trouvé quelques passages tombant un peu comme un cheveu sur la soupe avec un manque de cohérence. J’ai quand même trouvé l’expérience vraiment sympathique avec un style de jeu qui sort des standards et qui surprend par moment. C’est ce sentiment de différence par rapport aux jeux actuels qui font de Nier: Automata un très bon divertissement et puis la musique est tellement magnifique que ça serait bête de ne pas essayer !

C'est mon frère qui m'a fait connaître ce jeu et alors la magnifique superbes graphismes musique sublime alors la parfait pour moi merci à mon frero

Nier Automata est clairement un jeu qui divisera. Personnellement j'adhère totalement à l'univers et au gameplay. Comme souvent Platinum fait preuve d'une incroyable maestria dans l'enchainement des plans en 2,5D et en 3D, dans la mise en scène et dans le gameplay. La DA est, comme vous l'avez surement remarqué sur les screens & trailer, absolument magnifique. Certains regretteront un volet technique un peu en deça des dernières nouveautés concurrence et des parties pris dans la construction des niveaux un peu en retard comparé à certains open world mais ça ne m'a pas arrêté.

Sous ses aspects de jeu PS3, NIER amène une expérience riche et intense ou la Sous ses aspects de jeu PS3, NIER amène une expérience riche et intense ou la passion et l'attachement aux personnages et à l'histoire prendront le pas sur les faiblesses techniques évidentes. Avec son système de combat huilé par Platinum Game et son scénario se dessinant par petits coups de pinceaux aux travers de 3 runs, Nier : Automata ne cesse de monter en puissance, accompagné par une bande son magistrale dont les thèmes n'appellent qu'à être écoutés en boucle. Pas un open world, ni un RPG, surement pas un shoot'em up et encore moins un Beat'em All même s'il emprunte les codes de chacun de ces genres, ce jeu se met en place progressivement par le biais de ses personnages charismatiques mais aussi grâce à un scénario généreux si l'on se donne la peine de farfouiller un peu et de lire entre les lignes. Des quêtes secondaires pas toujours passionnantes il est vrai , une trame principale oscillant entre noirceur et humour parfois pour donner des combats contre des boss gigantesques le tout solidement lié par des personnages principaux bien écrits et ne cessant de se dévoiler : la recette Yoko Taro prend encore. On regrettera toujours le coté faiblard des graphismes mais la patte artistique est indéniablement là. Un moment marquant du JV Japonais montrant qu'une fois de plus qu'une once de folie dans un fût de créativité fera toujours mousser les joueurs plus facilement qu'une plastique irréprochable peinant à se raconter. Partie trophées : La plupart des trophées sont achetables via une boutique dans le jeu avec de l'argent virtuel. Cependant les trophées liés à l'histoire ne sont pas déblocable de cette manière mais en jouant le jeu normalement. Pour ceux souhaitant platiner le jeu "à la régulière" les trophées ne sont pas compliqués à obtenir, veillez juste à avoir à minima 2 save car l'une des fins est "missable". La partie farming pour les armes peut s'avérer assez pénible mais rien de comparable avec ceux du précédent épisode. L'accès via les chapitres après le 3ème run facilite grandement la chasse donc prenez votre temps et profitez !