c'est un très bon jeux, mais malheureusement le jeux est souvent gâcher par des bug. le gros point fort du jeux est l’environnement, on peut se balader des heures sans se lasser dans ce paris très détailler, très bien reproduit (surtout l'échelle des bâtiment qui parais très grand donc plus réel) et très beau (malgré les bugs graphique qui sont corriger par le mise a jour). le point faible c'est les bug de gamplaye, et certaine bug dans le mode en ligne, sinon le mode coop est très bien pensé, et fun a joué avec des pote.

Très bon jeu, Les graphismes sont magnifiques, les monuments sont vraiment très bien reproduits, c'est un plaisir de cavaler dans les rues de Paris. Une population très présente dans le jeu on ne s'ennuie jamais. Un grand nombre de mission coop le Online fonctionne bien ! AU TOP

Pour moi c'est l'opus de trop. A force de vouloir sortir un episode annuel ils commencent a bacler le developpement et on le resent dans le jeu. Certes ils ont mis du coop comme nouveauté mais ce jeu est trop buggé. Essperons que le prochain sera mis sinon ils coulent

Voila j'ai le jeux depuis 3 jours et je peux dire que je m'éclate à explorer ce Paris du XVIII ème siècle Sinon pour parler gameplay , j'adore le nouveau système de combat qui est plus punitif qu'auparavant et le système de free run . Pour le reste du scénario je ne peut donner mon avis car je m'éclate tellement à parcourir la ville et faire les missions annexe ( j'adore le scène de crime à résoudre ) que je suis ne suis pour le moment qu'as la séquence 3 . Bref je le conseille fortement à tous possesseur de playstation de 4

Contrairement a beaucoup de monde, je n'ai pas été déçu de ce jeu, il est très complet, magnifique et il y a enfin des combats compliqués, ce que je trouve génial.

Habitué de la licence Assasin's Creed depuis son premier opus, AC Unity est pour moi une véritable déception. Fini avec les pieds, 70€ pour un jeu plein de bug, de chute de fps, de fonctionnalités en ligne buguées voir inaccessibles pour certaines fait très mal. Personnage sans charisme, un mode histoire mal ficelé, l'époque d'Ezio apparait comme un vrai manque. Les graphismes ne font pas tout !

J'aime bcp l'univers de cet opus mais bcp trop de quêtes dans tous les coins au point de se perdre... Jouabilité peux dès me taper sur les nerfs lol

Après le fiasco du quatrième opus, j’attendais Unity au tournant. Et le résultat est plutôt mitigé. Ce dernier volet n’est pas en soi un échec, mais il me fera sûrement divorcer de la saga. L’ambiance est sympathique et la reconstitution de Paris impressionnante, mais le jeu repose trop sur ses acquis. Une fois de plus nous suivons les aventures du grand favori d’Ubisoft depuis Ezio Auditore (exception pour Connor) : l’homme blanc avec un soupçon de barbe qui part dans une vendetta pour venger sa famille (ou son mentor), le guidant vers la guilde des assassins pour reprendre sa revanche. Ubisoft reprend toujours ce même scénario sans en changer réellement le thème, ni ajouter quelque chose d’original ou nouveau. L’écriture du scénario est quelque peu fade, mais beaucoup moins terrible que celle du volet précédent. Arno sera tout sauf un personnage mémorable, dû à cette impression de déjà-vu que l’on a depuis le second opus. Une fois de plus, c’est le personnage féminin, Elise, qui vient apporter un petit vent de fraicheur. Le thème de la révolution est assez peu exploité et n’est au final n’est qu’un aspect secondaire, ce que je trouve plus que regrettable. L’une des nouveautés et l’un des aspects que j’ai le plus apprécié est la personnalisation. Le choix des couleurs, de la tenue ou encore de la capuche est plutôt sympathique. J’aurais aimé que ce soit beaucoup plus poussé et avoir une personnalisation totale et non être limitée à une palette de couleur et pouvoir améliorer plus amplement nos équipements sur la durée. Ceci est juste de la gourmandise et je pense qu’Ubisoft aura l’intelligence de le faire dans son prochain opus. Unity offre quelques changements niveau gameplay. J’ai trouvé l’IA beaucoup plus agressive qu’à l’accoutumée, améliorant légèrement la difficulté du jeu. Les nouveaux mouvements et déplacements d’Arno quant à eux sont spectaculaires et les exécutions sont un régal pour les yeux. Même après les nombreux patchs le jeu souffre encore de nombreux bugs et de quelques phases de gameplay maladroites. J’ai notamment en tête le double assassinat aérien qui n’a une chance sur dix de vraiment réussir. Assassin’s Creed Unity prouve que de très beaux graphismes ne veulent pas dire qu’un jeu est excellent. Cela m’attriste presque de voir un univers si prometteur ruiné par une écriture catastrophique copiant tout ce qui était bon et ce qui avait plu dans les opus précédents. Les phases de présent n’existent plus et je doute qu’un jour on puisse en apprendre davantage sur l’histoire de Juno et les mystères qui l’entourent. La saga Assassin’s Creed ne sera désormais qu’une sorte de simulateur de parkour à différentes époques, qui perdura tant qu’Ubisoft pourra se faire de l’argent dessus.

Bons jeux de bon graphique une fluidifiée excellente une superbe histoire une prît en main simple et complet un univers permet diverses actions plus pousser les unes quels les autres un excellent jeu

Après le fiasco du quatrième opus, j’attendais Unity au tournant. Et le résultat est plutôt mitigé. Ce dernier volet n’est pas en soi un échec, mais il me fera sûrement divorcer de la saga. L’ambiance est sympathique et la reconstitution de Paris impressionnante, mais le jeu repose trop sur ses acquis. Une fois de plus nous suivons les aventures du grand favori d’Ubisoft depuis Ezio Auditore (exception pour Connor) : l’homme blanc avec un soupçon de barbe qui part dans une vendetta pour venger sa famille (ou son mentor), le guidant vers la guilde des assassins pour reprendre sa revanche. Ubisoft reprend toujours ce même scénario sans en changer réellement le thème, ni ajouter quelque chose d’original ou nouveau. L’écriture du scénario est quelque peu fade, mais beaucoup moins terrible que celle du volet précédent. Arno sera tout sauf un personnage mémorable, dû à cette impression de déjà-vu que l’on a depuis le second opus. Une fois de plus, c’est le personnage féminin, Elise, qui vient apporter un petit vent de fraicheur. Le thème de la révolution est assez peu exploité et n’est au final n’est qu’un aspect secondaire, ce que je trouve plus que regrettable. L’une des nouveautés et l’un des aspects que j’ai le plus apprécié est la personnalisation. Le choix des couleurs, de la tenue ou encore de la capuche est plutôt sympathique. J’aurais aimé que ce soit beaucoup plus poussé et avoir une personnalisation totale et non être limitée à une palette de couleur et pouvoir améliorer plus amplement nos équipements sur la durée. Ceci est juste de la gourmandise et je pense qu’Ubisoft aura l’intelligence de le faire dans son prochain opus. Unity offre quelques changements niveau gameplay. J’ai trouvé l’IA beaucoup plus agressive qu’à l’accoutumée, améliorant légèrement la difficulté du jeu. Les nouveaux mouvements et déplacements d’Arno quant à eux sont spectaculaires et les exécutions sont un régal pour les yeux. Même après les nombreux patchs le jeu souffre encore de nombreux bugs et de quelques phases de gameplay maladroites. J’ai notamment en tête le double assassinat aérien qui n’a une chance sur dix de vraiment réussir. Assassin’s Creed Unity prouve que de très beaux graphismes ne veulent pas dire qu’un jeu est excellent. Cela m’attriste presque de voir un univers si prometteur ruiné par une écriture catastrophique copiant tout ce qui était bon et ce qui avait plu dans les opus précédents. Les phases de présent n’existent plus et je doute qu’un jour on puisse en apprendre davantage sur l’histoire de Juno et les mystères qui l’entourent. La saga Assassin’s Creed ne se résume désormais qu’à une sorte de simulateur de parkour dans un contexte historique donné.