Ce jeu est du genre à marquer la vie d'un gamer. Il divise, interpelle, et fascine. Un jeu d'une dimension difficilement explicable, mais terriblement addictif. Le concept est simple : livrer des colis dans une zone de jeu sinueuse et dévastée, remplie de dangers, pour relier des individus entre eux. Le scénario est de base assez simpliste, mais plus on avance, plus ça se complexifie, et s'enrichit. Et c'est là toute l'intérêt du jeu. Une aventure dont je suis tombé amoureux sur ps4 pro, et pour laquelle je suis retombé une nouvelle fois amoureux sur PS5

Sa fait longtemps qu'une histoire ma passionné à se point,D'accord c'est répétitif mais quelle jeu ne l est pas,les gens juge le jeu parce que kojima est égocentrique mais il a réson de l être il a quand même créé les 4 métal gear solide qui sont exelent bref sa change,s est beau,s est prennent.

Mon avis porte à la fois sur la version ps4 et la director’s cut ps5. Death stranding est pour moi un ovni vidéo ludique, au même rang que the last guardian. J’ai été attiré initialement par les critiques élogieuses et le maître Kojima aux commandes, et je n’ai pas été déçu. Sur la base de ce qui s’apparente à être un officier de la poste post-apocalyptique, le jeu nous amène à travers trois étapes clefs en tant que joueurs et acteurs du jeu. Étape 1: la contemplation On découvre un nouveau monde, le death stranding, et comme pour accomplir les 12 travaux d’hercules nous gravissons montagnes, champs de boues, de neige, rivières, ruines pour délivrer de précieux vivres et matériels pour connecter les gens et le monde. Le tout est rendu extrêmement fort en émotions par une musique magnifique et profonde. Le tout m’a apporté un sentiment de bien être et de relaxation ! Étape 2: la souffrance Nous allons petit à petit voir ce que ces fragments d’histoires, de morts, de pertes et de souffrances vont donner un tout cohérent à ce qui s’est produit, le comment, le pourquoi. Et plus on avance dans les derniers chapitres plus je ne pouvais croire ce qui se révélait ! On contemple, fait face ou affronte ces êtres morts, parfois on ne s’attendait pas aux rebondissements - comme ce qui est arrivé aux jumelles. Étape 3: le dépassement de soi Alors que l’on croit avoir compris, Kojima nous surprend encore avec cliff, Sam, BB, die-hard man. La fin pour Sam est magnifique, et lui apporte cette délivrance et cette nouvelle responsabilité pour sa renaissance. J’ai trouvé cela plein de symbolique après tout ce qui lui est arrivé depuis sa naissance. Ce jeu m’a pris aux tripes, de par ses personnages, son histoire, sa musique, sa beauté. Mais j’ai adoré la connection au monde via les autres joueurs pour tout reconstruire. S’aider les uns et les autres à aller de l’avant sans se voir ou se parler directement. Ce gameplay la - qui me rappel comme les souls mais en plus advance - a été une belle surprise aussi. Je n’ai pas fini de tout faire dans death stranding Mais je sais que je vais y retourner. Reconnecter les gens, me promener en tyrolienne, en moto, et contempler la beauté de son monde ! Et finalement quel casting de star pour ce jeu ! Un régal à tous les niveaux !

Death Stranding est certainement un alien parmi tous les jeux sortant ces dernières années. Un gameplay un peu étrange et une histoire dont on ne comprend rien jusqu'à la fin. La fin, il faut avoir envie d'y accéder car nombreuses sont les embûches qui vous empêcheront de l'atteindre. Mais c'est tout ce qui fait le charme de Death Stranding. Une histoire prenante qui donne envie de s'y plonger à fond afin de tout comprendre sur ce monde en ruine que l'on parcoure en long, en large et en travers. Ce monde ne vous épargnera pas. Tant physiquement pour votre personnage, qu'émotionnellement pour vous. Vous incarnez Sam Porter, un des porteurs osant s'aventurer pour affronter une nature cruelle et impitoyable afin d'apporter diverses matériaux aux peu d'humains encore en vie, éparpillés à travers les Etats-Unis. Et c'est ainsi que votre mission commence: parcourir les Etats-Unis afin de relier les personnes et de maintenir ce lien social disparu à la suite d'une catastrophe. Niveau gameplay, j'espère que vous aimez courir, car c'est tout de même le but principal du jeu. Effectuer des livraisons vous demandera de porter plusieurs kilos de matériels sur le dos. Ainsi, vous aurez à gérer votre énergie tout au long de vos parcours, et surtout d'apprendre à gérer les aléas se trouvant sur votre chemin. Des ennemis, vous allez en avoir. Des humains, des créatures communément appelées Échoués, la météo, le terrain pas toujours aisément praticable. Mais rien n'est insurmontable. Plus vous avancez, et plus vous débloquerez des outils utiles à votre avancée. Et la Director's Cut, version sur laquelle j'ai fini le jeu, aide encore plus en apportant du matériel simplifiant grandement vos trajets. Il existe aussi des véhicules, mais parfois vos jambes seront tout de même vos meilleurs atouts. Le système Online du jeu est réellement satisfaisant. On ne communique avec personne, et pourtant on avance tous ensemble. En effet, vous avez la possibilité de construire divers éléments pour vous aider à progresser, et ces éléments peuvent être amélioré par d'autres joueurs. Ainsi, vous vous retrouvez parfois avec des mécanismes posés par d'autres joueurs qui vous sauveront peut être un temps précieux, et le sentiment de gratitude que vous ressentirez alors est indescriptible. Je finirai par dire que Death Stranding est une expérience avant d'être un jeu, parfois, il sera difficile de progresser et le chemin semblera interminable. Mais il vaut la peine d'y passer du temps. Comptez entre 40 et 50 heures de jeux en ligne droite pour compléter l'histoire, et doublez au minimum ce temps pour tout effectuer. Le monde est vaste, profitez donc des paysages qu'il vous offre et surtout, appréciez votre pseudo solitude !

Né de l'imagination débordante et particulière d'Hideo Kojima, Death Stranding est un jeu à part ! Qui aurait cru que jouer un livreur à travers des Etats Unis futuriste mais aussi post-apocalypse (ici produite par le Death Stranding) serait aussi prenant ! Et bien pas moi, j'ai été agréablement surpris par le concept du gameplay avec les longues marches sur des sentiers escarpés ou des séances d'escalade au début puis par la réfections des routes physiques mais aussi virtuelles via le réseau chiral. Le système d'entre-aide communautaire est vraiment bien pensé pour permettre d'avancer dans les constructions qui demande beaucoup de ressources mais aussi pour donner/recevoir de l’équipement via des casiers partagés. Le gros point fort du jeu est son histoire vraiment travaillé en profondeur pour chaque personnage comme dans les Metal Gear et en parlant de personnage, ce jeu bénéficie d'un excellent casting à savoir Norman Reedus, Léa Seydoux, Guillermo Del Toro ou Mads Mikkelsen pour ne citer qu'eux. J'adore le fait que Norman Reedus casse le 4eme mur avec nous lors des nombreuses pauses (et poses) prises dans sa chambre. je n'ai pour l'instant pas eu le temps de le platiner mais ce sera forcement le cas en prenant son temps ^^ Dans tout les cas je vous le recommande fortement que ça soit sur PS4 ou PS5 avec la version Director's Cut.

Le titre résume tout... La narration est parfaite, les graphismes sont magnifiques, l'univers oppressant et libre à la fois. Kojima a réussi à me faire adorer les quêtes dîtes "FedEx" grâce à un gameplay évolutif. En effet l'obtention progressive d'un équipement plutôt conséquent vous permettra d'apprécier vos balades de plus en plus difficiles et chargées. Les quelques quêtes secondaires valent également le détour. Bref pour moi un vrai régal et cela simplement sur PS4...

Très bon jeux en version ps5. Très content de le commence sur cette version et non la version ps4. Et vous quelle version vous aimez ? ( ce qui l’ont fait sur les deux version )

Après avoir explorer les UCA avec Sam sur PS4, j'ai décidé de recommencer le voyage avec la version Director's Cut et quel bonheur. Je suis de nouveau complètement hypnotisé par la beauté des paysages et par rapport à ma 1ère expérience sur ce jeu de Kojima, je passe énormément de temps en mode photo. Les options avec BB, ça devient Death Stranding Director's Cute tellement c'est mignon. La dualsense est bien exploitée, exemple: dépasser la charge max et les gâchettes font "ressentir" la surcharge. Graphiquement c'est super beau, c'est fluide, RAS. Les nouveautés de gameplay sont la bienvenue, les nouvelles missions ( ce que j'en ai fait) rajoute ce qu'il manquait à DSDC: un peu d'infiltration dans des zones de mules etc...(coucou Snake) Cela reste une expérience qui divise, soit on adore soit on déteste. Je suis clairement dans la 1ère catégorie

L'intrigue d'Aliens Fireteam Elite commence 23 ans après les événements narrés dans le troisième volet cinématographique de la saga, lorsque l'équipage de l'UAS Endeavor reçoit un appel de détresse d'un navire en orbite autour de la planète LV-895. Le jeu propose une action coopérative à trois joueurs, et en cas de jeu seul ou à deux, l'IA se chargera de nous escorter. Bien sûr, le plus amusant est de jouer avec des amis ou des étrangers, via les serveurs du jeu, Au début du jeu, après avoir configuré le sexe et la physionomie de notre personnage, nous serons autorisés à choisir entre différentes classes Artilleur, Démolisseur, Technicien, Docteur et chacune d'elles aura sa propre armes et capacités. La conception des niveaux est assez complexe , et bien que vous soyez tenté de courir jusqu'au point suivant, tout en évitant les extraterrestres que vous ne pouvez pas tuer, l'exploration de la zones du jeu aura des récompenses sous la forme de coffres qui vous donneront des points supplémentaires, des accessoires exclusifs pour votre arsenal et bien plus encore. Le casting d'ennemis dans le jeu est une chanson d'amour pour la saga cinématographique, Runners, Spitters, Warriors et bien sûr également les Facehuggers. En plus de vous occuper des xenoverse, vous combattez des troupes synthétiques. Des soldats armés de fusils jusqu’aux tireurs d'élite et même aux droïdes qui restent en sommeil jusqu'à ce qu'ils soient activés pour poursuivre votre groupe avec une fureur suicidaire. Vous rencontrerez également des créatures pâles dotées d'un camouflage optique de style Predator, et même les humanoïdes apparue dans Prometheus. Le Studios n'a ménagé aucun effort pour intégrer toute l'iconographie de la saga Alien dans le jeu, que cela soit dans la musique ou le sonore qui vous accompagnera pendant l'action, jusqu’aux impulsions familières du radar qui avertit de la proximité des ennemis. Les scénarios changent, et gagnent en spectaculaire, au fur et à mesure que l'on surmonte les campagnes, bien que la mécanique du jeu soit amusante, c'est toujours étonnamment répétitif. Il s'agit d'aller d’un point A à un point B et lorsque vous trouvez un coffre de munitions, une trousse de premiers soins et des kits pour monter des tourelles , vous savez déjà que vous venez d'atteindre une zone où il vous sera demandé de défendre jusqu'à ce que le chronomètre atteigne zéro ou que vous tuez un ennemi spécifique. Si à la fin vous finissez par mourir, vous reviendrez à l'UAS Endeavor avec une récolte de points plutôt misérable. Dans le jeu il faudra prendre des risques, plus la difficulté est élevée, plus on obtient de récompenses, plus on monte vite dans les rangs et meilleur est l'arsenal que l'on peut débloquer. Des récompenses supplémentaires peuvent également être obtenues en sélectionnant une carte de défi , avant de commencer chaque mission. Après avoir terminé les quatre campagnes d'Aliens Fireteam Elite vous aurez accès à un mode Horde (malheureusement il y a qu’une seule map actuellement). Alien: Fireteam Elite, n'est pas la production la plus ambitieuse du marché, mais pour 40 euros elle offre une bonne dose de fun coopératif et une excellente maîtrise de la saga Alien.

j'espere qu ils vont faire la suite parce que je le trouve trés bien ? belle histoire sa donne envie de votre la suite de jeu avec des nouveaux boss