Voyageuse bleue - Traduit de l'espagnol (Pérou) par Sophie Ferreira Ramos - Préface de Daniel Vives (Gran

Dans le nouveau recueil que propose Porfirio Mamani Macedo, le monde est vu, ou plutôt entrevu dans l'obscure clarté «d'une bleuité virginale». Drapée dans «ses nobles atours», la Voyageuse est la déesse d'une illumination que le poète interroge dans un appel douloureux. Son regard porte vers une sorte d'éternité qui tient à la fois du mirage et d'un vertige et qui n'est pas sans rappeler le lyrisme du grand mystique Saint-Jean de la Croix.

Daniel Vives

Voyageuse bleue possède cette vertu de condenser en un langage lyrique extrêmement émouvant le pèlerinage d'un personnage qui va en quête d'un absolu.

Javier Morales Mena

C'est une conversation entre le poète et la poésie. On remonte au dialogue mystique et amoureux d'une forme parodique du Cantique des Cantiques, pour nous présenter un autre dialogue entre Vie et Poésie, entre l'homme depuis son mirador terrestre et face à un vaste et infini univers.

José Gabriel Valdivia Alvarez