Le Beau rivage (Poche)

Un fils peut-il accepter la disparition de celle qui lui a donné la vie ? Henri Monti refuse et raconte pour que sa mère vive encore, aussi longtemps que l'éternité fragile d'un livre.

Alors le passé s'anime, des silhouettes surgissent qu'on n'oubliera plus. Voici La Mora, une paysanne fière et courageuse, Giulio d'Albano, don juan de province, et leur fille, Mafalda, la mère d'Henri Monti. La vie de cette jeune fille, Henri la reconstitue pas à pas, à Venise, à Paris, puis à Nice. Il dessine avec amour le portrait d'une femme, de ses illusions comme de ses renoncements, et sent qu'une vie d'homme n'est jamais que le long deuil de la mère. La sienne, déjà, s'éloigne...

Le livre de Max Gallo est unique. Il dévoile un monde nouveau de tendresse charnelle, tout proche, à portée de la main...

Pierre Sipriot, Le Figaro.

... Gallo réussit des pages magnifiques, des évocations moites, sourdes, des portraits féminins étonnants d'impudeur et de vérité.

François Nourissier, Le Figaro Magazine.

Le Beau Rivage laisse en nous des accents chaleureux, ... durables.

Gilles Pudlowski, Paris Match.