Ghost Palace

The Burning Hell a écrit des hymnes de fête sur l'apocalypse bien avant que l'apocalypse n'arrive à la fête. Avec « Ghost Palace », le groupe présente sa collection de chansons sur la mort la plus joyeuse à ce jour, trouvant toujours de quoi sourire dans la décadence. Les paroles maximalistes de Mathias Kom sont soulignées de surligneurs fluo, avec des rebondissements surprenants à travers la culture pop, la vie animale, l'histoire, l'architecture et la science-fiction. Pathos et bathos rivalisent de temps égal, le sublime se blottit contre le trivial, révélant des instants d'humour et de beauté dans la fange. Mais « Ghost Palace » ne s'attarde pas directement sur la fin du monde. Au lieu de cela, les chansons supposent que notre temps est compté et se concentrent plutôt sur ce que nous pourrions laisser derrière nous en partant, ce qui pourrait durer et quelles surprises pourraient être trouvées parmi les restes.