[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] Voilà un film à remettre dans le contexte de l'époque si on ne veut pas le trouver désuet. Le sujet de la virginité trouve beaucoup moins de résonance à notre époque actuelle que dans les années soixante mais le jeu des acteurs est parfait (le casting est à tomber) ce qui fait de ce film un moment très agréable.

[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] J'ai adoré ce film de Jean-Pierre Mocky qui me fait penser aux comédies italiennes au charme suranné. Nous plongeons dans un univers qui n'existe plus du moins dans notre monde occidental. Ce film revêt parfois des allures de reportage sur la place des jeunes filles avant la légalisation de la pilule contraceptive. Les acteurs du film sont jeunes, on y retrouve avec plaisir, Charles Aznavour en professeur transi d'amour pour son élève, Patrice Laffont en acteur débutant, Stéfania Sandrelli (actrice italienne) - sans oublier Jean Poiret, Francis Blanche, Gérard Blain.

[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] j ai trouvee sa genial il n'a pas pris une ride ,certain film vei=ieillisse mal la pas du tout vous pouvez y allez toujours touchant un bon mocky vous ne serait pas decu du vrai cinema francais

[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] Très bon film au casting excellent. En noir et blanc qui reprend une version de 1963.Si vous aimez les films en noir et blanc je vous le conseille vraiment. le son, l’image...tout est là pour les fans de « film à l’ancienne »

[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] les vierges nous entraînent dans l'univers des ados et jeunes adultes des années 60 et des problèmes rencontrés alors dans les relations amoureuses et sexuelles; Ce film visionné aujourd'hui a le mérite de nous montrer l'évolution des moeurs et des comportements.Il peut faire figure de "document historique" d'un monde où la pilule contraceptive n'existait pas encore pas plus que la libération sexuelle qui s'en est suivie. Le poids des convenances et de la société sans égalité homme/femme est cruel de vérité.