[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] Un remake d'un film que je n'avais jamais vu mais vaguement entendu. Le film capte directement l'attention et ce jusqu'à la fin. J'ai beaucoup aimé le jeu des acteurs.

[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] J'ai apprécié ce film car jusqu'à la fin, même si on a déjà entendu parler de l'histoire, on ne sait pas si la réussite va être de mise ou non. Il y a du suspens sans cesse, les acteurs sont bons, c'est une réussite pour un remake d'un film qui était à la base avec des grands acteurs ! C'est divertissant et prenant, on passe un bon moment, jusqu'à la fin.

[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] L'histoire est vraiment très réaliste du début jusqu'à la fin, il manque pour ma part, un peu plus de contenu sur le commencement du film, j'aurais souhaiter plus de plan de scène de l'ancien Paris,afin de plonger le spectateur dans l'univers de l'époque 1930. Film que je conseil à tout cinéfil.

[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] J'ai beaucoup aimé ce film dont l'histoire qui est captivante. Le duo Charlie Hunnam / Rami Malek est excellent. Beaucoup de tension et de suspens dans les scènes qui se déroulent dans une prison qui fait froid dans le dos!

[Cet avis a été recueilli en réponse à une offre.] Bien que ce "Papillon" ne soit pas un mauvais remake, il en reste pas moins inutile. En effet, je trouve l'original avec le duo d'anthologie Steve McQueen et Dustin Hoffman d'une qualité nettement supérieure. D'autant que le film original n'a pas spécialement vieilli. Je regrette que le film de Michael NOER n'ai pas été tourné en Guyane ou tout au moins dans un décor à la végétation luxuriante et riche, cela enlève du charme et de la crédibilité au film. Je trouve aussi que le film démarre trop rapidement, on ne s'arrête pas assez sur la vie du héros Henri Charrière, dit le « Papillon » malfrat dans le Paris des années 30, dommage ! A voir cependant, surtout si l'on n'a pas eu l'occasion de voir la précédente adaptation du livre par Franklin J. Schaffner en 1973.