Infamous: Second Son a les caractéristiques d’un jeu d’action de super héros dans un monde ouvert, et est excellent sur ce point. Ses pouvoirs flashy sont géniaux, à la fois beaux et dynamiques, or c’est vraiment ce qu’on attend de ce type de jeux. C’est un changement qui m’a surpris au début en tant que fan de la série, mais une évolution qui paie finalement. Malgré le fait qu’il ne réussisse pas à marier les choix moraux du joueur avec le propre sens du bien et du mal du protagoniste, Second Son atteint des sommets en termes d’interaction entre les personnages, et plus important encore, en termes de gameplay en monde ouvert. Il n’a pas fallu longtemps pour que l’éclairage remarquable de Second Son me laisse bouche bée devant mon écran. La puissance de la PlayStation 4 est évidente dans chaque reflet dans les décors, dans les flaques d’eau et dans chaque fumerolle tourbillonnante qui partait de mes mains en flammes. La ville de Seattle est magnifiquement réalisée et profite d’une grande diversité, mais elle n’était jamais aussi belle que lorsque je réduisais en pièces tout autour de moi. Des rues citadines sereines se transforment en zones ardentes de désastre avec une joyeuse régularité, et l’avant comme l’après sont superbes à voir, malgré quelques saccades occasionnelles quand les effets sont trop complexes et nombreux. Si la plupart du temps les budgets élevés des jeux AAA servent souvent d’écrans de fumée pour cacher des personnages inintéressants, ce n’est pas le cas dans Second Son. Les bémols de l’histoire mis de côté, dans Infamous il est question de se sentir puissant, et de ce point de vue là Second Son ne déçoit pas. La variété des quatre pouvoirs de Delsin ont fait de chaque rencontre avec le DUP (la police locale) une nouvelle occasion de bander mes muscles dotés de super pouvoirs. Des destructions explosives que nous devons au pouvoir de fumée à la précision rapide de celui du néon, chaque pouvoir est suffisamment puissant pour suffire à un jeu entier. Et basculer stratégiquement de l’un à l’autre pendant des combats acharnés, en drainant les sources d’énergie dans toute la ville, me donnait l’impression d’être une véritable force de la nature vraiment impossible à arrêter. Les arbres de compétences proposent davantage d’options que dans les précédents jeux Infamous, vous permettant soit de vous concentrer sur un archétype particulier, soit de répartir vos ressources entre les multiples chemins, avec des pouvoirs déblocables différents en fonction de votre alignement moral. Un utilisateur méchant du pouvoir néon peut faire exploser ses ennemis, entraînant une réaction en chaîne qui peut tuer des groupes de civils en quelques secondes. En revanche, un utilisateur du pouvoir néon qui est d’un alignement bon peut ralentir le temps pour neutraliser avec soin les ennemis un par un au moyen d’une série d’attaques précises. Non seulement cette diversité maintient l’intérêt des combats, mais elle crée une forte incitation à rejouer et expérimenter d’autres techniques avec différentes combinaisons. Les rues de Seattle sont bourrées de possibilités et de missions secondaires, de sorte que vous n’avez jamais besoin de chercher une occasion de faire bon (ou pas si bon) usage de vos pouvoirs. Descendre les centres de commande du DUP fût une entreprise particulièrement gratifiante, offrant certains des combats les plus ardus, et distribuant de grandes récompenses sous forme de points de compétences à la fin. Quelque chose que l’on remarque encore plus est le fonctionnement du système de moralité. La prise de décisions, avec le système de couleur (bleu pour bon, rouge pour méchant), se révèle vite déconnectée de la motivation personnelle de Delsin qui consiste à guérir ses semblables blessés. Il n’y a rien dans l’histoire qui suggère qu’il soit prêt à un quelconque moment à tuer des civils innocents, ou que son frère policier ne verrait aucune objection à ce qu’il meure, et pourtant vous êtes clairement incité à tuer tous ceux que vous voyez si vous voulez tirer le maximum de votre parcours maléfique, si vous décidez d’emprunter celui-là. L'extrémisme est toujours récompensé par plus de pouvoir, et ainsi, il n’y a jamais de raison de prendre part à de mauvaises actions quand vous tendez vers le bien ou vice-versa. Cela a pour conséquence essentielle de sortir les décisions morales de l’équation, ce qui est cruellement décevant pour un jeu qui essaie de placer le choix sur le devant de la scène. Verdict Dans les jeux d’action de super-héros qui évoluent en monde ouvert, il est question de liberté et de pouvoirs. De ces points de vue, Second Son est vraiment impressionnant. Seattle est une grande et belle scène de jeu qui est là pour que vous la piétiniez avec tout un ensemble d’outils diaboliquement amusants et de jouets puissants à votre disposition. Il est super à jouer et encore plus beau à regarder, mais ses avancées l’obligent à tenir un standard plus élevé, un standard que son histoire et son système de moralité ont du mal à atteindre. positif Beauté des visuels Combat fun Pouvoirs variés Chimie du personnage negatif Questions au sujet de l’intrigue et de la moralité

L'histoire se laisse suivre avec beaucoup d'intérêt. Si vous aimez ce type de jeu je vous le conseille vivement vous aurez beaucoup d'heures à passer dessus pour notre plus grand plaisir !

Dans Infamous: Second son, vous jouez en tant que Delsin Rowe, un jeune homme doué d'incroyables pouvoirs. Comme dans les deux volumes précédents, vous pourrez choisir d'etre vertueux ou maniaque. Au fil du jeu, vous débloquerez de nouveaux pouvoirs et aurez la possibilité d'améliorer chacun d'eux. Vous aller devoir affronter la chef de la brigade Anti-Porteurs pour sauver des personnes qui ont été blessées. Mais ça ne sera pas facile et bien des embuches vous attendent. Vous serez libre d'explorer la ville de Seattle de gauche à droite et de bas en haut en planant, en courant sur les murs ou encore en vous glissant dans les conduits de ventilation des batiments!

J'ai fait ce jeu en découverte de la PS4 car j'avais pris un pack où il était dedans. Ayant bien aimé les précédents Infamous, celui là nous fait découvrir un autre personnage ce qui enrichit la licence et évite de trop s'étaler en longueur. apportant un vent de fraicheur. La nouveauté de la PS4 à l'époque en fait un jeu de lancement et le monde ouvert se prête tout à fait à cette évolution. J'espère que la PS5 aura son épisode Infamous.

J'avais bien aimé les 2 premiers mais celui-ci ne m'intéressait pas du tout au départ. Au final j'ai adoré! bon perso, beaux graphismes, bon gameplay. Dommage de ne pas avoir eu un autre Infamous depuis.

Visuellement très beau, avec de jolis effets de lumières et de couleurs, gameplay bien jouissif, et bon scénario. Très bon premier jeu de la PS4

Premier pas dans l'univers d'Infamous satisfaisant, le gameplay jouissif, le monde ouvert est agréable a parcourir et l'histoire se laisse raconter avec plaisir grâce au scenario intéressant et pour mon cas une VF de qualité (Donald Reignoux pour Delsin) Gros point négatif pour les nombreuses activités annexes répétitifs et facile à faire !

J'ai eu ce jeu dans un pack avec Playstation 4, je ne connaissais pas du tout avant et j'ai beaucoup apprécié y jouer. Pour un jeu de début de génération il a des bon graphisme, il est fluide et facile a prendre en main.

Une histoire et une bonne montée d'adrénaline à chaque prise de la manette, un infamous aussi bien que ses précédents. Avec plusieurs pouvoirs

C'est mon premier jeu que j'ai téléchargé sur le PS plus, j'avais lâché ce jeu mais j'ai repris le Gameplay récemment pour le platiné et je prend un très gros plaisir a jouer. Ce jeu me rappelle Marvel Spiderman vu que la voix de Donald Reignoux est dedans. J'ai hâte d'avoir le platine de ce jeu et j'espère voir une suite à cette franchise !