Doom: The Dark Ages est un très bon jeu, solide dans son exécution, mais qui peine à égaler le rythme effréné de Doom Eternal. Le gameplay reste satisfaisant à prendre en main, avec des sensations toujours aussi nerveuses, mais l’introduction du système de parry semble un peu en décalage avec l’ADN FPS rapide de la série — ça casse parfois la dynamique plutôt que de l’enrichir. Côté musique, c’est correct, mais clairement en dessous de la puissance sonore de Eternal, qui avait marqué les esprits. En résumé, The Dark Ages reste une excellente expérience, mais donne l’impression d’être une version en retrait par rapport à son prédécesseur.

Doom, c’est une saga légendaire, et son premier opus est tellement mythique qu’il y a le challenge permanent « Can it run Doom ? » ( https (://) canitrundoom (.) org/ pour les plus curieux d’entre vous). C’est pour vous dire à quel point cette saga a marqué l’histoire vidéoludique. C’est donc avec beaucoup d’attente que je me suis lancé dans ce dernier épisode en date, Doom The Dark Ages. Tout d’abord, chose importante : j’aime les jeux Doom mais je ne m’intéresse pas plus que ça au lore étendu. Je ne vais donc pas traiter l’aspect histoire par rapport à sa profondeur, sa qualité, etc : Doom, on est le Slayer et on éclate des gros démons, c’est tout ce qui m’importe ! D’ailleurs, en parlant de démons, tous les ennemis habituels sont là, certains en taille XXXXXXXL (le niveau 3 est plutôt cool en ce sens d’ailleurs, si vous aimez les kaijus). Doom The Dark Ages donc, c’est 22 missions assez simples où la toute puissance du Slayer peut s’exprimer. On sent cette puissance manette en main, vraiment. Les impacts de saut font trembler le sol, les coups de bouclier dashés font une onde de choc et les attaques au corps à corps font exploser la chair et les os ! Et clairement, le PEGI 18 n’est pas galvaudé ! Plusieurs niveaux offrent des gameplays changeant de la traditionnelle vue première personne. Comme dans tous les jeux Doom, chaque niveau a son lot de zones secrètes à découvrir, regorgeant d’objets et bonus en tout genre. Malheureusement, le jeu est simple, trop simple. Il se termine en quelques heures et la rejouabilité est quasiment nulle. Un mot sur les graphismes : ça claque la rétine, le jeu est vraiment beau. Tout est propre, net. Dernier point : les trophées. Rien de difficile, rien n’est manquable car chaque niveau peut être refait. Attention cependant, il y a un trophée octroyé pour l’upgrade de toutes les armes qui peut buggé. Une solution : ne pas upgrader les armes tant que tous les secrets n’ont pas été trouvés, pour avoir assez de ressources pour tout améliorer en une seule fois et garantir l’obtention du trophée.

C'est un plaisir de me replonger dans l'univers de DOOM. Par rapport au précédent épisode, j'ai pu constater que l'accent a été mis sur la narration, avec pas mal de scène cinématique. Sans trop vous spoiler on découvre dans cet épisode les origines du Doom slayer. Pour ma part je trouve que ça fait du bien de découvrir une véritable histoire derrière un jeu tel que Doom! Concernant le gameplay, on est toujours en vue à la première personne, où l'on pourra évoluer dans des niveaux de type couloir avec toujours autant d'armes à disposition, et oui que serait DOOM sans les armes! J'ai noté qu'il y a quelques nouveautés appréciable dans cet épisode, où l'on pourra contrôler un Titan Mecha en vue à la première personne, mais également on pourra aussi chevaucher un dragon qui sera par contre vu à la 3e personne. La grande nouveauté c'est surtout le bouclier tronçonneuse qui remplace la tronçonneuse traditionnelle. Ce bouclier tronçonneuse aura une très grand importance dans le gameplay, comme vous l'aurez compris ce moyen de défense vous servira d'arme de mêlée avec la possibilité de faire des exécutions jouissif, mais il apportera également la possibilité de résoudre certaines énigmes, qui disons le clairement sont très simples. Maintenant les graphismes. C'est propre et beau, le jeu nous propose une très grande variété de décor en passant par des bases, des forêts et des endroits lugubre et sordide, il faut pas oublier qu'on est dans un monde où il y a des démons. Parlons maintenant des choses qui fâchent. Mais où est passé la musique heavy métal, bien énergique et intense, qui accompagnaient les précédents épisodes!? C'est dommage c'est ce qui apporte cette ambiance si particulière et ce côté bien badass dans les combats. La durée de vie dans tout ça et bien il m'a fallu 27 h en une seule run pour finir le jeu et le platiné. Je trouve que ça fait relativement court, peut être que certains diront que j'exagère mais c'est vrai que après quand t'as fini le jeu, bah y a plus rien à faire quoi... Ma conclusion Malgré que je finisse sur des notes négatives sur mon avis, je ne peux que vous conseiller ce jeu pour son aspect bourrin et jouissif. Ah, c'est quand même dommage qu'il n'y ait pas cette musique heavy metal...

J'ai commencé à jouer quelques minutes et je n'est pas pu relâcher la manette de la main. Un très bon jeux FPS, je le recommande à tous bon gamers avertis.

Le jeu est au-delà de mes attentes apart un téléchargement long autrement un jeu mémorable.

35h en cauchemar , bouclier novateur. Moins difficile qu’Eternal