Far Cry 6 - Édition Gold (PS4)

Entre les paysages magnifiques de Yara, les armes complètement folles et l’ambiance révolutionnaire, j’ai vraiment kiffé l’expérience. Le charisme d’Anton Castillo (joué par Giancarlo Esposito) donne un vrai poids à l’histoire. C’est pas le jeu parfait — quelques petits bugs et des missions parfois répétitives — mais franchement, si tu veux de l’action non-stop et un monde ouvert explosif, fonce ! Je lui mets un solide 9/10. Et vous, vous avez tenté la révolte ?

Far Cry 6, c’est un bon délire. J’ai vraiment kiffé l’ambiance de Yara, l’univers est super vivant et coloré, ça change des open-world plus classiques. Le duo dictateur / révolution est bien foutu, et Anton Castillo (joué par Giancarlo Esposito) donne vraiment du poids à l’histoire. Le gameplay est fun, surtout avec les armes bricolées et les Supremo qui pètent dans tous les sens. Parfois un peu trop bourrin, mais c’est ce qu’on vient chercher dans un Far Cry aussi. Grosse mention au coq de combat (oui oui), et aux véhicules customisables qui ajoutent un vrai kiff. Il y a quelques longueurs, mais globalement j’ai pris beaucoup de plaisir à libérer Yara à ma façon.

Ce n’est pas mon far cry préféré mais il est bien dans l’ensemble Après ça reste un far cry Graphiquement assez bon pour un jeu ps5 Durée de vie assez longue avec les missions annexe.

Nettement plus intéressant que son prédécesseur Far Cry 5. Le scénario est beaucoup plus abouti et travaillé. Le jeu d'acteur de Giancarlo Esposito est parfait et apporte une touche sadique mélodramatique en supplément. Pour le reste, on reste sûr du classique Ubisoft. Pas de nouveautés particulières, on sait à quoi s'attendre, mais la licence conserve tout son charme

Nettement plus intéressant que son prédécesseur Far Cry 5. Le scénario est beaucoup plus abouti et travaillé. Le jeu d'acteur de Giancarlo Esposito est parfait et apporte une touche sadique mélodramatique en supplément. Pour le reste, on reste sûr du classique Ubisoft. Pas de nouveautés particulières, on sait à quoi s'attendre, mais la licence conserve tout son charme.